Une maisonnette rouge flanquée d'un petit sauna en bois gris, non loin
d'Helsinki. Linnea, la douce veuve du colonel Ravaska, mène une
existence paisible à soigner ses violettes et son chat. Pourtant chaque
mois, le jour où elle touche sa pension, un trio maudit, conduit par son
neveu, s'invite sous son toit pour la détrousser. Lorsque ses visiteurs
ne se contentent plus de sa maigre retraite et exigent un testament à
leur avantage, c'en est trop. Elle est résolue à en finir. Comprenez : à
se suicider. Mais, surprise, concocter un poison mortel se révèle une
activité beaucoup plus passionnante que tricoter. Et les noirs desseins
de Linnea, par une suite précipitée d'événements cocasses, se retournent
en sa faveur, tandis que ses ennemis...
Génie du comique de situation, Paasilinna récidive avec une vieille dame tranquille candidate au suicide. Arsenic et vieilles dentelles trempé dans l'aquavit, les rocambolesques aventures de la colonelle sont l'occasion de revisiter l'univers à la fois brut, drôle et loufoque du grand écrivain finlandais.
Génie du comique de situation, Paasilinna récidive avec une vieille dame tranquille candidate au suicide. Arsenic et vieilles dentelles trempé dans l'aquavit, les rocambolesques aventures de la colonelle sont l'occasion de revisiter l'univers à la fois brut, drôle et loufoque du grand écrivain finlandais.
Mon avis:
La Douce Empoisonneuse, n'est pas le premier Paasilinna que j'ai l'occasion de dévorer (oui c'est bien le mot à utiliser ici), mais le premier dont j'ai l'occasion de vous parler.
Paasilinna est pour moi le maître incontesté du loufoque et de la satyre, un style, SON style, inimitable et reconnaissable entre mille, tant il n'y a que lui (à ma connaissance) pour écrire des romans pareils. La Douce Empoisonneuse ne déroge pas à la règle et se dévore comme tout bon Paasilinna. Le résumé ci-dessus en dit déjà beaucoup sur le fond de l'histoire et croyez-moi, tout du long le rire est au rendez-vous et on espère à chaque page qu'elle réussira son entreprise et la manière dont ses ennemis se retrouvent à leur tour les victimes est énorme et à chaque fois tout à fait par hasard, monumental, bref moi j'adore, et tous les Paasilinna un jour je lirais :)
Paasilinna est pour moi le maître incontesté du loufoque et de la satyre, un style, SON style, inimitable et reconnaissable entre mille, tant il n'y a que lui (à ma connaissance) pour écrire des romans pareils. La Douce Empoisonneuse ne déroge pas à la règle et se dévore comme tout bon Paasilinna. Le résumé ci-dessus en dit déjà beaucoup sur le fond de l'histoire et croyez-moi, tout du long le rire est au rendez-vous et on espère à chaque page qu'elle réussira son entreprise et la manière dont ses ennemis se retrouvent à leur tour les victimes est énorme et à chaque fois tout à fait par hasard, monumental, bref moi j'adore, et tous les Paasilinna un jour je lirais :)
Il est dans ma bibliothèque!! mais n ai toujours pas ouvert sa première page mais ton enthousiasme sur cet auteur me redonne l envie! :=)
RépondreSupprimerhésites pas à venir donner ton avis quand ce sera fait ;)
Supprimerdésolée suis en anonyme je ne sais pas trop quoi mettre dans profil! je m appelle anne sophie et je suis dans le groupe LECTURE § PARTAGES..bonne soirée
RépondreSupprimerpas de problème. Bienvenue.
Supprimeren octobre prochain, Bernard Stora réalisera une adaptation du roman pour Arte et c'est Line Renaud qui jouera le rôle de la colonelle. Bon moment en perspective !
RépondreSupprimerOh merci pour cette info, je vais me renseigner :) Merci beaucoup!
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